Rachael Hedler avait toujours rêvé de devenir infirmière. Après sa naissance prématurée, elle et sa famille ont souvent rendu visite aux infirmières qui avaient pris soin d’elle pendant son séjour au service néonatal de soins intensifs. Pendant ces visites, les infirmières l’ont souvent encouragée à choisir leur métier.
Rachael Hedler a suivi leurs conseils, prenant soin des membres de sa famille lorsqu’ils se blessaient et obtenant le titre d’infirmière de classe en CE2. Son rêve a commencé à se concrétiser lorsqu’elle s’est inscrite au programme de soins infirmiers du Walla Walla Community College, à Washington, et qu'elle a obtenu son diplôme d'infirmière.
Une fois diplômée, Mme Hedler a travaillé dans une clinique et comme aide de soins de santé à domicile. Elle a également obtenu un emploi en chirurgie ambulatoire, à titre d'infirmière instrumentiste et d'infirmière circulante, en attendant le jour où elle obtiendrait sa certification d'assistante de bloc opératoire.
« Je voulais devenir infirmière de bloc opératoire », déclare Mme Hedler. « C’était mon rêve. »
Toutefois, elle a dû mettre son rêve de côté lorsqu’elle a remarqué une éruption cutanée sur ses mains et ses avant-bras aux endroits où les gants chirurgicaux couvraient sa peau. Elle avait porté des gants chirurgicaux pendant quatre mois sans présenter la moindre réaction.
Le caractère soudain des symptômes et le fait qu’ils s'aggravaient peu à peu l’ont alarmée. Elle s'est rendue à plusieurs reprises aux urgences, a consulté différents médecins et a accepté de subir des analyses de sang.
En fin de compte, un test épicutané a confirmé que Mme Hedler était allergique aux accélérateurs chimiques. Le médecin lui a remis de la documentation sur les allergies aux produits chimiques, qui représentent environ 30 % des maladies de peau contractées au travail et constituent la deuxième cause d’incapacité professionnelle signalée à l’OSHA (agence américaine pour la santé et la sécurité au travail).
Mme Hedler affirme qu’elle était anéantie lorsqu’elle a découvert que les gants chirurgicaux, comme ceux qu’elle portait au bloc opératoire, contenaient des accélérateurs chimiques.
Une fois l’allergie diagnostiquée, elle a cessé de travailler comme infirmière instrumentiste et a accepté un poste d’infirmière circulante. Elle a également pris des stéroïdes afin de traiter ses symptômes et a commencé à chercher des gants chirurgicaux sans accélérateurs chimiques.
Sa recherche a pris fin lorsqu’un représentant de Henry Schein lui a proposé d’essayer les gants DermaPrene® Ultra en néoprène d’Ansell. Ces gants conviennent aux professionnels de santé et aux patients à la fois sensibles au latex (allergie de type I) et aux produits chimiques (allergie de type IV).
« J’utilise les gants pour préparer les mains des patients pour l’intervention chirurgicale et commencer l’administration IV, entre autres choses », précise Mme Hedler. « J’avais 26 ans quand j’ai appris que j’étais allergique aux accélérateurs chimiques et j’ai eu peur de devoir changer de métier. Grâce aux gants DermaPrene® Ultra, j’ai pu continuer à travailler comme infirmière. »
Les gants font partie des nombreux produits utilisés dans le milieu médical, qui contiennent des accélérateurs chimiques. On trouve aussi ces substances dans les seringues, les bouchons de flacons à médicaments et diverses fournitures médicales.
Mme Hedler a commencé à répandre la nouvelle concernant les allergies aux accélérateurs chimiques et les gants DermaPrene® Ultra sur le panneau d'affichage des membres de l’AORN (association américaine du personnel infirmier de bloc opératoire). Elle s'est également entretenue avec des collègues lorsqu’elle assistait à des conférences.
« À partir du moment où j'ai commencé à utiliser les gants Ansell, j’ai eu envie d’aider les autres professionnels de santé afin qu’ils puissent poursuivre leur travail », explique-t-elle.
Mme Hedler porte les gants d’examen roses en nitrile Micro-Touch® NitraFree™ d’Ansell lorsqu’elle a besoin de gants non stériles. Les gants Micro-Touch® NitraFree™ ne contiennent aucun accélérateur chimique à base de soufre, ce qui contribue à préserver les professionnels de santé des allergies de type I et de type IV.
« Je crois que les allergies aux accélérateurs chimiques sont à la hausse parmi les professionnels de santé, mais souvent, les gens pensent qu’ils sont allergiques au latex ou qu’ils ont une éruption d’origine inconnue », soutient Mme Hedler.
Elle continue sa campagne d'information sur les allergies aux accélérateurs chimiques et prend contact avec des fabricants de produits pour bébés, de produits pour la cuisine et de vêtements qui proposent des articles contenant des accélérateurs chimiques.
« Je rêverais de pouvoir toucher une poignée de casserole en caoutchouc ou d'acheter un soutien-gorge qui ne contienne aucun accélérateur chimique », avance Mme Hedler. « Je crois que l’incidence des allergies aux accélérateurs chimiques continuera d’augmenter, car les gens sont de plus en plus exposés à ces substances. Je suis contente de savoir que je pourrai porter les gants Ansell sans m'inquiéter d’avoir une réaction allergique et que je pourrai continuer à travailler comme infirmière de bloc opératoire. »
Depuis, Ansell a changé le nom des gants DermaPrene® Ultra en GAMMEX® Non-Latex et a lancé la gamme GAMMEX® Non-Latex Sensitive, des gants plus minces et dotés d'une plus grande sensibilité tactile. Les deux modèles sont toujours exempts d’accélérateurs chimiques.